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Clitoridienne ou vaginale ?

Flash sur les idées reçues qui inhibent les femmes. Question embarrassante à laquelle les femmes répondent difficilement.

Toutes les femmes sont clitoridiennes. Vaginal est une fausse croyance.

 

Le point G

Le seul organe naturel féminin dédié exclusivement au plaisir est le clitoris. Il en est de même pour cette partie mystérieuse logée sous le clitoris à l’entrée du vagin que l’on appelle maladroitement point G au lieu de zone G. 

Ces idées reçues doivent être élucidées pour éviter des nuits blanches aux femmes, des complexes et un mal-être constant. Il est recommandé aux hommes de se documenter sur la femme avant de plonger dans les eaux troubles du mariage.

C’est primordial. Le sexe dans le cadre du mariage ne se résume pas à la rencontre du  » P  » et du  » V ». 

 

L’ excision

Quand on s’intéresse à la chirurgie réparatrice de lexcision, on comprend aisément que nous baignions dans un océan de fausses certitudes. 

Précisons tout de même que toutes les femmes excisées n’en ont pas besoin parce certaines n’ont pas été grandement dépossédées de leur clitoris, organe du plaisir. En effet, le clitoris est une forme de fin gland dont la grande partie est immergée. 

C’est ce que le chirurgien cherchera à faire bourgeonner de nouveau dans le cadre d’une réparation. Il est relié au vagin par des muscles dont une racine qui traverse l’urètre.

 

Le plaisir ?

Il faut savoir que le plaisir qui s’obtient par le clitoris hors coït est le même que l’orgasme vaginal. La stimulation du clitoris peut se faire en interne comme en externe. 

C’est le sang qui remplit les muscles qui se mettent alors en érection pour faire frétiller et pétiller. 

Ces différents muscles associés à ceux du périnée entre en ébullition grâce à un flux sanguin intense. 

Le vagin comme le clitoris sont interconnectés par des corps érectiles qui déclenchent le plaisir. Donc, clitoridienne ou vaginale reste au faux débat. 

En matière de plaisir, tout est régi par la manière, la manière dont le clitoris est touché ( externe ou interne ), la manière dont l’homme s’y prend pour explorer ce mystérieux corps féminin.

 

Eduquer les hommes ?

Ce qui est primordial, c’est d’éduquer les hommes. Nous grandissons avec beaucoup d’idées reçues.  

Au banc  » Diakhlé  » où j’ai mes habitudes, nous avons instauré un rituel de  » Zéro tabou  » où chacun peut poser les questions qui le taraudent. 

Quand nous n’avions pas la réponse à travers les expériences personnelles, nous allons à la quête de l’information via un réseau de professionnels aguerris ou des hommes et des femmes connaisseurs.

Ainsi, nous avons compris que nous sommes souvent maladroits et naïfs. Tout n’est pas physique. 

Quand les femmes sont couvertes d’attentions, de surprises, de respect, leur corps et leur esprit deviennent réceptifs à merveille. 

Pas besoin d’effort herculéen pour les combler. 

Nous avons aussi appris que, si l’homme s’intéresse à tout le corps de la femme, il peut provoquer des réactions miracles, un festival de jets d’eau et ruissellements. De même, les hommes ne sont pas tous au même pied d’égalité. 

Certains ont des périodes réfractaires, d’autres plus chanceux, restent au garde à vous tout le temps. 

Dans le cadre du mariage, l’homme doit toujours être curieux, ouvert d’esprit. 

Attention aux fausses certitudes, cela fait passer à côté de l’essentiel.

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